*** Les gouttes de pluie glissent doucement sur le visage de ma mère crispée par l'effort. Ça douleur retenue ne semble pas vouloir atténuer sa beauté. Les arbres autour semblent étendre au maximum leurs branches pour la protéger du vent ne laissant filtrer que quelques goûtes tièdes. Mon père semble encore plus paniqué que ma mère, il lui tien la main, la serrant contre son coeur. ***


Poussez !!

*** Le vieil elfe rencontré par hasard dans se bois près d'Escania semble avoir étudié l'accouchement lors de sa longue vie. Sa barbe grisonnante sort de sa capuche et un léger sourire rassurant s'esquisse sur ses lèvres. De son humain parfait il tente de rassurer le couple. ***


Cela se présente bien, madame.

*** Le vent sembla s'arrêter de souffler et les arbres se plièrent encore plus pour observer le nouveau né. Au loin seul un faucon sembla vouloir percer le silence en criant comme pour reconnaître l'enfant comme son protégé. Et comme une réponse à l'oiseau. ***


OUIIIIIINNNNN!

Je doit bien avouer que comme premier mot en se monde j'aurais pu trouver plus original.

*** L'elfe me prend dans ses bras et donne sa dague à mon père pour qu'il coupe le lien qui me lie à ma mère. Un coup légèrement tremblant et c'est finit. Le vieil elfe range d'un geste sur la dague puis regarde mes parents qui s'émerveillent ***


Vous avez un abris dans le coin? Sinon nous pouvons aller dans ma modeste demeure...enfin si vous le souhaitez...



Nous ne quittèrent plus jamais la demeure du vieil elfe

*** Le capitaine était assis à une table, une petite dizaine de bouteilles d'hydromel gisaient sur la table et sur le sol de terre. Il regardait dans le vague semblant parler à une personne invisible. La nouvelle recrue à la fenêtre regardait le coeur serré...ça première renconctre avec le capitaine rendez-vous compte! La recrue entrebaillat la porte discrètement et entendit un: ***

tuhuuuuhuuuuu... Merde j'ai plus de réseau! Fait chier!

*** Perplexe...La recrue entra. Plus de réseau? Qu'est-ce qu'il voulait dire? Elle regarda l'humain affalé sur la table entrain de bidouiller frénétiquement sur un bout de papier. ***

un dracosire, un troupeau d'olimorses, deux trois filles à poil et un troll unijambiste. Voilà! ça devrait aller!

*** Les yeux injectés de sang du capitaine se posèrent sur la recrue. Visiblement le stock d'herbe schamanique avait été renouvelé. ***

Regaaarde! C'est mon nouveau plan pour prendre le pouvoir dans l'empire!Ecoute! Ecoute!

*** Le capitaine se pencha sur la recrue et lui vociféra dans l'oreille ***

ALORS! J'ARRIVE PAR LA FENÊTRE DU PALAIS, JE MATTE SCIPIA DROIT DANS LE DECOLETTE, JE FOUT UNE TORGNOLE A CHAQU'UN DE CES AMANTS, bon cette partie du plan risque d'être un peu longue vu le nombre d'amants...Bref!

*** L'homme se mit à chuchotter ***

Et la...Je me tourne vers l'empereur, je le déculotte... ET VLAN !

*** Le capitaine se leva renversant bouteilles, plans, table et recrue ***

JE LUI FOUT UN GOURDIN CLOUTE DANS L'CUL A CET ENFOIREEEEEEEEE

*** Hawkman tenta de se rassoir sur sa chais qui malheureusement avait, elle aussi, été renversée et s'étalla par terre de tout son long en se tenant les côtes s'esclafant comme un malade. La recrue pris un des parchemins par terre sur lequel était gribouillé un mouton dévorant un loup. Enfin ...ça y ressemblait vaguement. La recrue pris alors la parole ***

Et c'est dans quelle partie de votre plan qu'il vous faut un dracosire?

*** Le capitaine regarda la recrue avec de grans yeux comme si la réponse était évidente ***

Pour la parade bien sur!

La...Parade...evidemment

*** La recrue n'avait déjà plus de doute sur la santé mentale du capitaine et il songeait à un moyen de partir le plus rapidement et poliment de la batisse lorsque il remarqua une personne dans un coin de la pièce. Un pauvre bougre se trouvait sur un chariot à roulettes, sans bras ni jambes. La recrue regarda l'homme et devint aussitôt blanc comme les fesses de la grande intendante. ***


Quoi? ça? Oh c'est juste Miguèl!

*** le capitaine se réinstalla sur sa chaise en faisant un grand coucou et un immense sourire au dénommé Miguèl, puis pris une mimique des plus sérieuses ***


Au début c'était un faux légionnaire qui nous espionnaient pour le royaume d'ithoria...

Alors quand on l'a démasqué pour lui apprendre je lui ai coupé la langue et j'en ai fais mon fidèle serviteur !

Mais il a voulu s'échaper...

*** Le capitaine hocha négativement de la tête en fermant les yeux, un sourire crispé aux lèvres ***


Alors, je lui ai coupé les jambes... Pauvre Miguèl!

Mais attention! Il a jamais perdu son sens de l'humour le Miguèl!

Une fois il avait réussis à dégoter une lame et il a voulu tenter de m'assassiner.

Tu aurais du voir comment il était drôle à ramper par terre en tenant fermement son coutelas et en essayant de formuler des mots.

C'était HI-LA-RANT

*** Tout en parlant le capitaine mimait l'action riant à gorge déployée ***


J'ai du lui couper les bras...Pauvre Miguèl!

Depuis il refuse de se nourrir, alors je suis obligé de le faire moi-même...

Il tente de me mordre parfois...ah!ah! Sacré Miguèl c'est un phénomène ce type

*** Le capitaine regarda avec une tendresse infinie Miguèl ***


Mais il sait que je ne le décapiterai jamais pour ça..Hein!Miguèl! Je ne suis pas une brute!

Bon allez la recrue! C'était sympa de te rencontrer mais j'ai du travail moi!

On se voit demain!

*** La porte se referma sur le dos de la recrue qui ne pensait plus qu'à une chose. S'éloigner le plus possible de cet homme. ***

Description physique :

De forte petite taille, cet humanoïde n’attire, au premier regard, pour ainsi dire que peut l’attention.

De longue dread brune relativement irrégulières, soutenue par un bandeau verdâtre, lui masque en quasi-permanence le coté gauche du visage comme pour dissimuler son œil crever et sa longue cicatrice partant au dessus du sourcil et finissant au dessus de la pommette.

L’on peut observer une grande habilité dans sa démarche et son allure, ses gestes sont précis et incisif, sa posture, bien que légèrement voûter, démontre une capacité à vite réagir au évènement inattendus, sa petite taille offre une mobilité nettement avantageuse, ses mains sont rapides, précises et fines…

Dans son regard l’on peut observer une certaine tristesse et une nette désillusion sûrement du à un trouble passer.

Bien qu’ayant une attitude générale relativement renfermé et ténébreuse, elle n’en ai pas pour le moins une jolie petite humaine, son sourire ne laisse rarement de marbre, sa peau brunis se marie parfaitement à son visage, ses formes, bien que petite, sont belles, régulières et attirantes.

Elle n’affronte guère le regard des passants, préférant sans doute se fondre dans la masse et passer inaperçue.


Histoire du passé de votre personnage :

Naelä naquit dans les égouts d'une petite ville non loin du dôme, sa mère mourut des suites de l'accouchement, par manque de moyen, de connaissance et d'outillage son père du choisir entre la vie de son enfant ou la vie de sa femme. Dans ce choix, bien que difficile, son père fut son choix rapidement et sans visible remords, nulle ne sait quel relation entretenait il avec sa défunte épouse. Quand il attrapa le bébé, un large sourire des plus malsains se dessina sur son visage. Naelä fut élever dans l’égout par son seul père, qui sans la choyer ou même montrer de l’amour pour sa progéniture, qui l’élever de son mieux et avec attention. Naela s’amuser avec les enfants d’une famille de survivants qui habiter dans le même égout, elle manger des rats et autres vermines à sa faim, l’eau émanant des égout était limpide et clair, Naelä connus une enfance calme, paisible et teinter d’une grande insouciance. Lors de sa dix neuvième années, alors quelle se lavait comme à son habitude, non loin de l’abris familiale, elle entendit des pas se rapprocher, elle saisit son linge et se cacha par pudeur. Sa surprise ainsi que son soulagement fut grand en voyant la silhouette de son père apparaître, un mauvais pressentiment la traversa quand même lorsqu’elle aperçue le sourire malsain et les yeux teinter de folie de son père. Sa crainte fut malheureusement justifier, son père s’approcha toujours en souriant, la jeune Naelä sourit et rougit, comme gêner de montrer son corps nue à son père, son père ne dit que trois mots et le destin de la fillette aller s’en trouver bouleverser et faire place à une scène de barbarie.

« Tu va y passer ! »

Son père la frappa, la jeta par terre et commença son acte incestueux. La jeune fille fut marquée à jamais par cet instant, sa confiance envers le sexe masculin en générale en sera fortement amoindrie. Le viol dura quelques longues, longues minutes, après quoi son père lui jeta une serviette, se rhabilla et lui dit sèchement :

« Va falloir t’y habituer ! »

Naelä pleura, face contre terre, l’estomac souiller et le mental anéantie, elle maudit sa pitoyable vie, ses immonde égouts, son salopard de père, et même sa mère en hurlant, en criant, en gémissant de tout son âme et de tout son corps. Elle ne revint que tard le soir vers son abris, sans même réfléchir, instinctivement, elle se saisit d’un couteau et s’approcha de son père qui bricolait en chantant visiblement ravie d’avoir trouver une nouvelle femme. Elle se jeta sur lui sans crier, le mit à terre et calmement sans sourciller elle lui trancha rapidement la gorge. Le sang giclait la recouvrant d’un voile sanglant, le rire dément de la jeune fille résonnait jusqu’à l’endroit le plus lointain des égouts. Après quoi elle tomba dans les pommes sur le cadavre encore chaud de son concepteur. A son réveil elle n’eut même pas un regard, une pensée pour la dépouille, elle prit le nécessaire pour entamer un voyage, trouva un petit tract dissimuler par son père indiquant l’emplacement d’un dôme où la vie y était paisible et facile, fit ses adieux à son abris et partit en quête de se dôme. Son voyage dura une longue année. Elle aperçue au loin le tant espérer dôme, elle sourit largement et partit rejoindre cet havre de paix, qui sans l’ombre d’un doute ne pouvait que être meilleur que la vie dans les égouts.